Ce matin sur Tocsin : Pierre Jovanovic revient sur ce que l'on n'a jamais dit au sujet de la crise de 2008, Roxane d'Espalungue fait son grand retour à l'antenne et la chronique police-justice dénonce les peines grotesques infligées aux pillards du soir de la finale de la Ligue des Champions.
Vous avez manqué la matinale ? La gazette est là pour faire le point.
« Après la crise de 2008, ce sont 30 trillions qui ont été volés aux peuples. »
Pierre Jovanovic raconte ce que personne n’a encore dit sur la crise des subprimes.
Interviewé par Guy de la Fortelle, Pierre Jovanovic ne pouvait bien sûr pas faire l’impasse sur l’intervention spectaculaire du GIPN à son domicile en mars dernier. Tocsin ne tenait pas spécialement à revenir sur le fond de l’affaire mais connaître les éventuelles avancées de la plainte déposée par son avocat, Maître Brusa. « Normalement, il y a un enquêteur de police qui est désormais chargé d’enquêter sur la police. Autant dire que ça va prendre du temps. », s’est contenté de répondre notre invité.
Venons-en donc au cœur de l’interview : cette crise de 2008, moment de rupture définitive entre les peuples et les élites, où les secondes ont choisi de sacrifier les premiers en leur faisant payer plein pot la facture des folies de la finance mondialisée.
Pour Pierre Jovanovic, on ne peut comprendre les débats actuels sur les systèmes de retraite qu’à travers ce prisme : « Ce sont 30 trillions qui ont été volé aux peuples. Et maintenant, ils nous expliquent que nous devons prendre notre retraite à 70 ans ! ».
Mais cette esbrouffe n’a été rendue possible qu’avec la servile complicité de nos gouvernants, particulièrement en France. Nicolas Sarkozy, François Hollande puis Emmanuel Macron se sont faits les serviteurs zélés d’un monde de pillards.
Pierre Jovanovic rappelle que le premier avait passé un accord secret avec les syndicats en pleine crise de 2008 pour empêcher tout mouvement social, alors que les chiffres des plans de licenciement battaient des records. Quant au second, au moment même où il prononçait son fameux discours « Mon ennemi, c’est la finance. », il envoyait le 3e, Emmanuel Macron, à Londres pour rassurer les financiers sur la dette française.
Vous connaissez malheureusement la suite…
Source : Youtube.com
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