Boutcha – Déclaration du Ministère de la Défense de la Fédération de Russie (France.mid.ru)

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Comme vous le savez la guerre c'est sale, et il y a des victimes, c'est pour cela qu'il faut tout faire pour ne pas arriver à ce genre d'extrémité.

Aussi dans la situation actuelle il faut bien intégrer la responsabilité impardonnable des États-Unis et de l'OTAN, et de leurs alliés dans ce conflit en Ukraine (qui n'ont pas respecté leurs ENGAGEMENTS vis-à-vis de la Russie). Ce qui ne s'est pas amélioré avec leur refus depuis 10 ans de respecter les accords de Minsk ou de dialoguer avec Vladimir Poutine sur la sécurité en Europe.

En plus on est habitué aux mises en scène macabres de l'Oncle Sam de types False Flag, etc., pour les avoir largement expérimentés en Syrie (ou ailleurs).

(Et ceci dit, pour être objectif, il y a certainement de la propagande d'un côté comme de l'autre).

Mais comme nos médias ne donneront jamais aucun droit de réponse à la Russie sur cet épisode de Boutcha,

Nous leur donnerons la parole, vous serez sensible à leur argument ou pas,

Mais vous aurez ainsi toute la grille de lecture,

Au fait, les médias le laptop d'Hunter Biden toujours rien ?

Le monde est en train de tirer la chasse, mais ils sont tellement occupés en mode 'pilotage automatique' (comme depuis 50 ans), a relayer (sans se poser la moindre question) la propagande US, qu'ils n'ont toujours rien compris...., grand bien leur fasse.... ; ))))

Amitiés,

f.

Raideurs Cadaverique

Les séquences audiovisuelles publiées par le régime de Kiev, témoignant de "crimes" prétendument commis par des militaires russes dans la ville de Boutcha, région de Kiev, ne sont qu’une nouvelle provocation.

Pendant le temps que cette commune était contrôlée par les Forces armées russes, aucun civil n'a été affecté par la violence. Les militaires russes ont livré et distribué 452 tonnes d'aide humanitaire aux civils de la région de Kiev.

Tant que la ville se trouvait sous le contrôle des Forces armées russes, et surtout après, jusqu'à aujourd'hui, les civils de Boutcha pouvaient se déplacer librement dans la ville ainsi qu’utiliser les communications mobiles.

Les sorties de la ville de Boutcha n'étaient pas bloquées. Tous les résidents locaux avaient la possibilité de quitter la commune en prenant la sortie vers le nord, notamment en Biélorussie. En même temps, les militaires ukrainiens poursuivaient les bombardements des banlieues sud de la ville, y compris des quartiers résidentiels, à l’arme lourde, recourant également à l’aide de chars et de lance-roquettes multiples.

Nous voudrions souligner que toutes les unités russes ont quitté Boutcha le 30 mars, le lendemain des négociations en présentiel entre la Russie et l'Ukraine, en Turquie.

Qui plus est, le 31 mars, le maire de Boutcha, Anatoli Fedorouk, avait confirmé dans son message vidéo qu'il n'y avait aucun militaire russe dans la ville. Pourtant, il n’avait point mentionné qu’il y eût des corps de civils ligotés et fusillés dans la rue.

Il n'est donc pas surprenant que tous les prétendus "témoignages des crimes" de Boutcha ne soient apparus qu'au quatrième jour, avec l'arrivée dans la ville des agents du Service de sécurité d’Ukraine (SBU) et de la télévision ukrainienne.

Il est particulièrement préoccupant que tous les corps qui ont été montrés par le régime de Kiev ne soient pas devenus rigides après au moins quatre jours, n'aient pas de lividités cadavériques et que le sang dans les plaies n'ait pas coagulé.

Tout cela confirme incontestablement que les photos et les vidéos ukrainiennes de Boutcha ne sont qu’une énième mise en scène conçue pour les médias occidentaux, comme cela avait déjà été le cas pour la maternité de Marioupol et dans bien d'autres villes.

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Commentaire – Ministère des Affaires étrangères
de la Fédération de Russie :

La Fédération de Russie a demandé de tenir, le 4 avril 2022, une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies (CSNU) portant sur la provocation émanant des militaires et des radicaux ukrainiens dans la ville de Boutcha.

Pourtant, le Royaume-Uni qui préside le CSNU en ce moment n'a pas donné son accord pour la tenue de cette réunion.

Aujourd'hui, la Russie exigera à nouveau que le CSNU soit réuni en raison des provocations criminelles des militaires et des radicaux ukrainiens dans la ville de Boutcha.

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Source : France.mid.ru

 

Informations complémentaires :

Crashdebug.fr : Ukraine on fire (VOSTFR)

 


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