😂ELON MUSK RÉPOND
— François Asselineau (@UPR_Asselineau) May 29, 2023
À THIERRY BRETON
Son bras de fer avec le Commissaire🇪🇺 permet au propriétaire de Twitter de montrer que le "Code de bonne conduite"🇪🇺 des réseaux sociaux n'est en fait que la volonté de CENSURER ceux qui refusent l'idéologie🇺🇸🇪🇺.
La Commission🇪🇺est démasquée 💩 https://t.co/bUGUacRCRC
Rendez-vous ce soir, avec Nicolas @NBouvierOff, pour l’anniversaire du NON de 2005 contre l’anticonstitution européennehttps://t.co/ygiHVi9ej2
— Étienne Chouard (@Etienne_Chouard) May 29, 2023
Le réseau social d'Elon Musk est sorti samedi du code européen de bonnes pratiques contre la désinformation en ligne.
Twitter «sera banni» de l'Union Européenne en cas d'infraction à ses règles, a déclaré lundi le ministre français délégué au numérique Jean-Noël Barrot, qui s'est parallèlement inquiété d'une future régulation européenne «excessive» en matière d'intelligence artificielle (IA). «Twitter, s'il ne se conforme pas à nos règles, sera banni, en cas de récidive, de l'Union européenne», a martelé sur Franceinfo le ministre Jean-Noël Barrot.
Cette déclaration survient après la sortie officielle de Twitter du code de bonnes pratiques de l'Union Européenne contre la désinformation en ligne, annoncée samedi par le commissaire européen à l'Industrie Thierry Breton. Ce dernier avait rappelé dans un message sur Twitter que le réseau social, dirigé par le milliardaire américain Elon Musk, demeurait assujetti légalement au respect des règles européennes.
«Twitter joue un rôle important dans le débat public, mais nous ne pouvons pas prendre le risque qu'un réseau social tel que Twitter se laisse prendre en otage par les partisans de la désinformation et que, par conséquent, notre débat public, notre démocratie soit affectés», a insisté Jean-Noël Barrot. «C'est la raison pour laquelle nous avons établi des règles claires et il faudra que Twitter s'y conforme», a-t-il ajouté.
Position «excessive» du Parlement européen
Interrogé sur la future réglementation européenne en matière d'intelligence artificielle générative (l'«IA Act») actuellement en discussion, le ministre français, tout en reconnaissant la nécessité de «donner un cadre» au développement de l'IA, a taclé le positionnement du Parlement européen qui risque de «faire sortir l'Union européenne de l'histoire technologique».
«À ce stade, la position du Parlement européen est excessive car elle impose des obligations d'audits, des obligations de transparence qui sont excessives pour ce type de modèles», à l'image de ChatGPT, a-t-il estimé. Ces modèles d'IA «font l'objet d'une course effrénée dans laquelle nous ne devons pas nous laisser distancer, sans quoi nous nous enfermerions dans des décennies d'assujettissement et de dépendance technologique», a-t-il poursuivi, appelant à «investir» dans le domaine.
«Il est impératif de disposer dans les mois qui viennent de modèles tels que ceux qu'ont développés ces géants américains», a-t-il conclu, rappelant que Google avait pour l'heure renoncé à déployer son IA Bard dans l'UE, face aux contraintes réglementaires.
Source : LeFigaro.fr
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