Nicolas Dupont-Aignan : « Macron vend nos retraites aux assurances ! » (OD)

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C’est en effet, une nouvelle fois, de la HAUTE TRAHISON. Comme pour le détricotage du Code du travail, les privatisations d’Alstom, d’Aéroports de Paris, de la Française des Jeux, des barrages hydroélectriques, etc. Les vampires de la “haute finance” mondialisée ne s’arrêtent jamais… et Macron est leur laquais. OD

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Nicolas Dupont-Aignan, né le 7 mars 1961 à Paris (15e), est un homme politique français.

Énarque, il est successivement membre du Rassemblement pour la République (RPR), du Rassemblement pour la France (RPF) et de l'Union pour un mouvement populaire (UMP), avant de fonder (en 1999) et présider Debout la France (DLF), anciennement Debout la République, parti se réclamant du gaullisme et du souverainisme.

Il est maire d'Yerres (Essonne) de 1995 à 2017 et député depuis 1997. Candidat aux élections présidentielles de 2012 et de 2017, il recueille respectivement 1,79 % et 4,70 % des suffrages exprimés. Dans l’entre-deux-tours de l'élection de 2017, il conclut une alliance de gouvernement avec Marine Le Pen, qui devient caduque après l'élection d'Emmanuel Macron.

Parcours politique

Débuts

Dès 13 ans, Nicolas Dupont-Aignan est un fervent partisan du candidat du gaullisme social Jacques Chaban-Delmas, collant des affiches pour le candidat lors de la présidentielle de 197417. Il est ensuite membre du Rassemblement pour la République (RPR).

Le journaliste Franck Johannès indique qu'il a été proche des clubs Convaincre de Michel Rocard et qu'il aurait envisagé de solliciter le soutien de Jacques Guyard, maire socialiste d'Évry, pour être candidat à Corbeil-Essonnes18. Axel Urgin, un de ses condisciples à l'ENA et responsable de la section socialiste de l'école, affirme que Dupont-Aignan souhaitait rallier cette dernière, hésitant entre Rocard et Fabius19.

Il rejoint Demain la France fin 199319. Avant l'échec d'Édouard Balladur à l'élection présidentielle de 1995, il entre au cabinet de Michel Barnier, ministre de l'Environnement en . Toutefois, à la différence de son dirigeant, il choisit de ne soutenir aucun des deux candidats issus du RPR.

Invoquant sa période passée, dans les années 1990, auprès de personnalités europhiles telles que François Bayrou puis Michel Barnier, Le Parisien indique : l’engagement gaulliste [de Nicolas Dupont-Aignan] n’est donc assuré, ou assumé, qu’à partir de 1997, date de la fondation du RPF, le parti de Charles Pasqua et Philippe Séguin20.

Il est désigné directeur des études au sein du RPR par son président, Alain Juppé, en [réf. nécessaire].

En février 1998, le nouveau président du RPR, Philippe Séguin, dont il s'était rapproché dès avant la dissolution de l'Assemblée nationale l'année précédente, le nomme secrétaire aux fédérations. En , après s'être prononcé contre la ratification du traité d'Amsterdam, il est remplacé dans ses fonctions de secrétaire aux fédérations, et amorce un rapprochement avec les souverainistes, notamment Charles Pasqua.

Le , il fonde le groupe Debout la République, au sein du RPR, et, pour les élections européennes du , appelle à voter pour la liste dite souverainiste conduite par Charles Pasqua et Philippe de Villiers. Il quitte alors le RPR, le 15 juin, pour devenir dans la foulée le secrétaire général adjoint du Rassemblement pour la France (RPF), nouvelle formation lancée par Charles Pasqua, dans laquelle il est plus particulièrement chargé des fédérations. Toutefois, avant la rupture entre Charles Pasqua et Philippe de Villiers il choisit de démissionner du RPF en .

S'ensuit une période de rapprochement d'abord avec Philippe Séguin (à cette époque candidat à la succession de Jean Tiberi, maire de Paris), puis, à l'automne 2001, avec Jean-Pierre Chevènement, alors qualifié de troisième homme par certains médias français, dans la perspective de l'élection présidentielle de 2002. Il publie même, avec ce dernier, dans les colonnes du Figaro, le , une tribune libre intitulée La République est morte, vive la République21.

La victoire du président sortant, Jacques Chirac, face à Jean-Marie Le Pen, le , le voit revenir dans l'orbite de la majorité présidentielle. Il est réélu député de l'Essonne dès le premier tour, le 9 juin.

Entre-temps, Nicolas Dupont-Aignan a postulé avec succès au programme « Young Leaders » de la French-American Foundation, dont il intègre la promotion 200122,23. Selon Le Monde Diplomatique, le programme « Young Leaders » permet de promouvoir auprès des « futurs décideurs français » les « bienfaits de la mondialisation à l’anglo-saxonne », mais, en ce qui concerne Nicolas Dupont-Aignan, « l’opération de séduction a échoué »24. D'après Les Echos, Nicolas Dupont-Aignan « a demandé à ce que son nom soit rayé de la liste »25.

La suite sur Wikipedia.org

Source : OD

Informations complémentaires :

Retraites BlackRock 12 12 2019 

 


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